Carine Lacroix | Autrice | Une fille sans personne

Carine Lacroix

Photo de Carine Lacroix

Après avoir été comédienne, Carine Lacroix se consacre aujourd’hui à l’écriture théâtrale. Burn Baby burn (texte dédié à l’avant-théâtre, collection des quatre- vents) crée à la Comédie Française en 2010 (mise en scène d’Anne-Laure Liégeois), traduit en plusieurs langues puis monté à Prague, Berlin et Munich. Le Torticolis de la girafe crée au Théâtre du Rond-Point en 2012, (mise en scène de Justine Heynemann), et l’insomniaque (2006, inédit) écrit en résidence à la Chartreuse de Villeuneuve – les-Avignon. Par ailleurs, elle écrit des pièces radiophoniques pour France Culture et France Inter.

Une fille sans personne

couverture du livre une fille sans personne
Une fille sans personne de Carine Lacroix est paru en 2013, édité par L’Avant-Scène théâtre, collection Quatre-vents.

Une fille sans personne a été lu

  • au festival de correspondance de Grignan, avec Léa Drucker et Oshen /Océane rosemarie (guitare, voix) dirigées par Murielle Magellan – juillet 2013
  • au Centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier avec Sylvie Jobert et Carine Lacroix – décembre 2013
  • aux Rencontres d’été théâtre & lecture en Normandie avec Fanny Cottençon – août 2014
  • à la Maison des Métallos, Paris en 2016

Extrait de la Préface de Philippe Jaenada

(…)Bien sûr, il n’y a pas, dans Une fille sans personne, que ce réalisme déconcertant, ce vécu créé, cette visite documentaire dans la tête et le monde d’une prisonnière qui n’existe pas. Il y a surtout l’histoire d’une fille et d’une femme qui influent l’une sur l’autre, se rapprochent par correspondance, se mêlent de loin et finissent, comme deux vases communicants, par s’équilibrer à distance avant de s’éloigner l’une de l’autre, par échanger leur solitude et leur malaise, leur place dans le monde – c’est le récit épistolaire d’un transfert de vie, de souffrance. (Dis comme ça, c’est pesant et pathétique – mais pas du tout, c’est plutôt grave et fort. (Ah les préfaces, c’est pas de la tarte. (Et puis l’une des choses qui m’énervent, dans les préfaces, c’est que leur auteur souvent ne peut s’empêcher, comme un gamin au cinéma quand il a déjà vu le film, de tout dévoiler en avance. Donc arrêtons là, c’est mieux.))
En résumé, et pour finir, ce qui suit, ce qui commence maintenant, est triste, douloureux, mais magique.

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